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la République du Centre – 27/02/2021
Ils ont quitté Jouy-le-Potier jeudi 25 février et espéraient, en vingt-quatre heures, rejoindre l’Allemagne à l’aide d’un ballon à gaz. Christophe Blanchard, son petit-fils et les deux membres de l’association des Ballons de Loire ont bel et bien terminé leur voyage le lendemain, vendredi 26 février, et de la meilleure des façons.
Alors qu’ils pensaient que les mille mètres cubes d’air stockés les conduiraient à Munich, le vol s’est en réalité poursuivi jusqu’à la frontière entre l’Allemagne et la République tchèque, près de Marienbad.
Au total, les quatre voyageurs de l’air ont réalisé vingt et une heure de vol. Quant au voyage de retour, il était prévu en voiture avec deux adhérents de l’association qui les ont suivis, au sol, tout au long de ce voyage.
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la République du Centre – 25/02/2021
Dix heures de préparation, des dépenses financières et un minutieux plan de vol… Les membres de l’association des Ballons de Loire étaient sur le pont, ces dernières semaines, pour assurer un défi de taille : rejoindre la région de Munich (Allemagne) en vingt-quatre heures, depuis Jouy-le-Potier, à l’aide d’un ballon à gaz. « J’attends ce moment depuis des années, s’enthousiasme Christophe Blanchard, président de l’association. Malgré mon expérience, ce sera un premier vol en ballon à gaz ».
Pour s’élever, 1.000 m³ d’hydrogène nécessaires
Tout au long du voyage, ils progresseront à une vitesse d’environ 50km/h, selon les prévisions météorologiques. Contrairement à la montgolfière, qui se propulse dans les airs grâce à l’air chaud qu’elle produit, le ballon à gaz stocke de l’hydrogène avant de gagner en altitude.1.000m³ d’hydrogène ont été nécessaires pour permettre à l’équipage de Christophe Blanchard de s’élever à plus de 2.500 mètres du sol. « C’est très technique et le temps de trajet est forcément réduit. Nous emportons, avec nous, quatre cent kilos de sable dont nous nous débarrasserons progressivement pour gagner en altitude », développe Christophe Blanchard.
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la Nouvelle République – 02/06/2019
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Le Domaine de Chambord comme les abeilles peuvent le voir
Le survol du Domaine de Chambord en montgolfière devrait aussi être un moment fort du reportage. « L’équipe tenait à prendre de la hauteur, ce qui est plutôt judicieux pour apprécier la Sologne, si plate… Nous avons pu voler avec Christophe Blanchard des Ballons de Loire à Jouy-le-Potier », précise Nils Aucante. Il décrit : « On a décollé à l’extérieur du Domaine, du côté de Muides et on a atterri près de Villesavin. On a survolé tout Chambord et toute la forêt de Boulogne, tous les endroits où se trouvent les ruches. On se demande souvent ce que les abeilles voient, là on était un peu comme elles… » L’occasion aussi d’évoquer le conservatoire de l’abeille noire.
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la République du Centre – 17/07/2012
Entre le 24 et le 28 juillet, il faudra lever les yeux car tout se passera dans le ciel d’Olivet, à l’occasion de la 38e édition du championnat de France de montgolfières.
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Pour cette 38e édition, 45 ballons prendront leur envol depuis le domaine du Donjon, à Olivet.
« Tout dépendra des conditions météo. Plusieurs points de décollage sont prévus. Comme, par exemple, le terrain destiné aux planeurs de Mézières-lez-Cléry, qui se situe entre Jouy-le-Potier et Olivet », explique Jacques Bourgoin, des Ballons de Loire, de Jouy-le-Potier.
Tout un art
Son club jovicien représentera d’ailleurs le département avec deux montgolfières en compétition.
Deux géants des airs majestueux. Le premier de 2.600 m3 et le second de 3.000 m3. À leur bord, un pilote, un copilote, dont Jacques Bourgoin.
Au sol, les « équipiers ». Eux sont en charge de suivre les aéronefs. En contact permanent avec l’équipage, ils se tiennent prêts à intervenir en cas de pépin. En fin de vol, ils « réceptionnent » pilote et copilote.
« L’observateur » reste lui aussi sur la terre ferme. Sa mission ? Vérifier où ont atterri les « marques » (sacs de sable, ndlr) lâchées depuis les nacelles. Il jugera ainsi la précision du largage, tout un art.
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la République du Centre – 29/08/2011
Jouy le Potier
A la découverte des montgolfières
Vendredi soir, 24 participants, accompagnés de Nicole Bourgoin, de l’office de tourisme de Cléry, et d’Alain Giovagnoli, adjoint au maire de Jouy-le-Potier, ont bravé la pluie pour faire cette dernière randonnée à la découverte des montgolfières.
C’est aux Ballons de Loire qu’ils avaient rendez-vous. Sur les lieux, Christophe Blanchard, pilote instructeur, et Valérie Moret, poursuiveuse, vont leur faire faire leurs premiers pas de pilote. Par leurs explications, à l’aide d’un diaporama, ils ont brossé les différentes étapes du vol d’un aérostat.
Créé en 1989, le club dispose de deux ballons : un petit 3000 m3 pour quatre passagers et un pilote ; et un plus gros, de 5000 m3, composé d’une enveloppe de 35 m de long pour 220 kg et d’une nacelle permettant de prendre huit passagers, un pilote et un élève pilote.
Près des brûleurs se trouve le nomex, tissu antifeu. Le ballon est d’abord gonflé à l’air froid pour détendre l’enveloppe, puis à l’air chaud pour le verticaliser et lui faire prendre de l’altitude.
La montgolfière fonctionne grâce à un travail d’équipe. Les passagers sont sollicités pour remettre l’enveloppe dans son sac, pendant que les accompagnateurs récupèrent le matériel. Le lieu d’atterrissage est toujours inconnu car la montgolfière est tributaire du vent.
Le club, composé de pilotes, d’élèves pilotes et de poursuiveurs, pratique des vols le week-end et les jours fériés.
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la République du Centre – 02/08/2011
Messas :
Dimanche soir, vers 19h30, une montgolfière atterrissait dans un champ avec, à son bord, sept personnes. Parti du « Bas de la Mouche », à Meung-sur-Loire, l’aérostat de l’association « les Ballons de Loire », de 5.000 m3 et huit places, a survolé un peu la Loire. Il a profité d’un vent faible mais stable pour terminer son voyage « magnifique et impressionnant », selon les dires d’une passagère. Une belle balade en l’air.
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La Tribune d’Orléans – 16/07/2009
http://www.tribune-orleans.fr/Economie/Val-de-Loire-la-montgolfiere-une-experience-tendance.html
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Le Figaroscope – 09/10/2002
En montgolfière
Christophe Blanchard est médecin et a pour passion la montgolfière qu’il fait partager à ceux qui le lui demandent, en fin d’après-mi ou au lever du jour. On vole alors vers l’inconnu ! Une heure avant, va-t-on décoller ? La réponse appartient à la météo. Une fois parti, on ne sait pas davantage où l’on va se diriger et atterrir. A l’entière merci du vent, qui détermine vitesse et direction, on se laisse porter au gré de la bise, à 1000 mètres d’altitude, debout dans ce qui ressemble davantage à une corbeille à pain qu’à un cockpit d’aéronef. Pourtant, dans le silence de l’altitude, l’appréhension disparait vite quand on descend au ras de la forêt decouvrant grands animaux, châteaux, fermettes et promeneurs étonnés. Puis vient l’épreuve de l’atterrissage, plus impressionnante par l’idée qu’on s’en fait que par la réalité. Nous nous posons sur un bord de route, la nacelle rebondit trois fois devant des automobilistes éberlués, avant de s’immobiliser enfin. Pas question de mollir. Tout le monde met la main à la pâte pour dégonfler le ballon et le charger dans une vouture suiiveuse. De retour sur le plancher des vaches, on demeure nostalgique de ce moment d’exception.
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Détours en France – mars 2001
Jouy le Potier
Association Ballons de Loire
Complice des brises et des courants, la montgolière déchire l’air dans un chuintement soyeux. Caressant l’onde du fleuve, rebondissant de levées en ponts, effleurant les « boires » et autres petites îles, le ballon est un moyen merveilleux de s’initier aux paysages et à la vie de la Loire.
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Le Petit Futé
http://www.petitfute.com/guide/96711-ballons-loire
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Balado
Aujourd’hui, le « gros monument » est de sortie : huit personnes dont le pilote doivent embarquer pour un survol de la Sologne. Une première pour tous. Rassemblés autour de Christophe Blanchard, le pilote-instructeur, les passagers sont conviés à participer à la manœuvre. Descendue de la remorque, l’énorme nacelle en osier capitonnée est couchée sur le sol. Au-dessus, on déroule la longue enveloppe multicolore de plus de cinquante mètres. A son sommet, une soupape, que l’on actionne à volonté, va permettre d’orienter la montgolfière. Des câbles d’acier fixent la toile à la nacelle. La météo est clémente, heure H moins trente minutes. Quatre bras sont réquisitionnés pour maintenir l’enveloppe ouverte : le ventilateur souffle à plein régime. Le ballon va mettre environ quinze minutes pour se gonfler. Quelques coups de brûleur et vite, chacun monte pour faire du poids. Hop, c’est l’envol. Dix mètres, vingt, puis trente, cent, deux cents… Pour certains passagers, le cœur se soulève, mais la vue sur l’immensité forestière est tellement magique qu’on en oublie ces sensations. Vous prenez encore de l’altitude. Sérénité absolue. Ce voyage est l’occasion de découvrir des châteaux privés, d’observer des animaux et de magnifiques étangs que l’on ne peut voir depuis le plancher des vaches.